Variant Omicron : « Pour l’instant, il n’y a aucune raison de paniquer »

Pour le virologue Jean-Michel Pawlotsky, il est encore trop tôt pour prédire un avenir dévastateur au variant sud-africain. L’heure est à l’étude de ce nouveau venu.

Déclarations alarmistes, fermeture des frontières à l’Afrique australe, Bourses mondiales qui s’affolent… Depuis l’émergence du variant B.1.1.529 – baptisé Omicron –, qui semble se propager très rapidement en Afrique du Sud, l’inquiétude internationale gagne. D’autant qu’il a déjà été repéré en Israël, en Belgique, en Allemagne, aux Pays-Bas et à Hongkong. Omicron a été classé comme « préoccupant » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui estime qu’il présente « un risque accru de réinfection » par rapport aux autres variants, dont le Delta, dominant et déjà très contagieux. Est-il aussi redoutable qu’il en a l’air ? Jean-Michel Pawlotsky, virologue, chef du service de biologie et pathologie à l’hôpital Henri-Mondor (Créteil) et responsable d’une des plateformes de séquençage…

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In this photo illustration, a hand holding a medical syringe with a text Omicron (B.1.1.529): SARS-CoV-2 in the background. – Pavlo Gonchar / SOPA Images//SOPAIMAGES_SOPA013865/2111271137/Credit:SOPA Images/SIPA/2111271146

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